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Brèves / 17.12.2005

Cinéma

Le film Forty shades of blue met en scène un compositeur-producteur de soul de Memphis qui connut son heure de gloire dans les années 1960. Un personnage inspiré par Bert Berns, Jim Dickinson et Sam Phillips. Même si la musique n’occupe pas une place prépondérante dans ce beau fleuron du cinéma indépendant américain, on peut y voir (et entendre !) Reba Russell chanter A little bit of soap et J. Blackfoot dans un trop court extrait de The dark end of the street. Des titres à retrouver dans leur intégralité sur le CD de la B.O. (parus sur Memphis International/Distr. DG Diffusion), à côté de titres originaux de Dickon Hinchliffe (Tindersticks) et Jim Dikinson, et d’enregistrement Alligator d’Albert Collins et Elvin Bishop & Smokey Smothers.
Dans l’hilarant Gentille, on a la surprise de voir Stéphane Manaranche (le guitariste de Guitar Mania & Boogie Disease) coiffé d’un curieux filet et chaperonnant d’une bande de gamins quêteurs ! Ce garçon est inquiétant !